Bonjour
J'ai la trentaine, alsacien du bas rhin, je suis en TT depuis un an.
Après plusieurs années au volant d'une mercedes SLK r172 200k, je voulais le remplacer par un TT roadster mk3 en tfsi 230.
En cherchant dans plusieurs garages, je suis tombé sur un roadster mk2 fsi 250 dans une configuration rare et v6.
Plus ancien, plus de kilomètres, et moins cher. Je l'ai acheté avec une garantie de 12 mois moteur et boite en très bon état. J'ai pu conserver mon SLK que j'ai revendu depuis.
Ma femme n'aime pas vraiment le TT mk2. Elle s'attendait à une mk3 plus récente mais le cuir baseball et le changement pour un tout nouveau poste media a amélioré son jugement. En fait la voiture s'est avérée tout aussi sportive que la SLK. La SLK est plus chic et plus lumineuse, et celle-ci est plus sobre et pratique.
Je suis toujours d’humeur à conduire de telles voitures et je peux parcourir de longues distances sans me fatiguer.
Les deux premiers mois, j'ai réglé le problème du poste media, nettoyage du cuir avec application d'un produit pour le protéger, effectué un peu d'entretien et commencé à comparer les deux roadsters et à m'amuser.
Le premier jour, je me souviens avoir eu des larmes de bonheur, pas tant à cause de la dynamique, mais du bruit du moteur, car je n'avais jamais eu de 6 cylindres auparavant et en même temps, j'ai commencé à ressentir les avantages d'un quattro. Passe fort, ne glisse pas, comment les amortisseurs magnétiques sont rendus plus rigides lorsque vous appuyez sur un bouton, à quel point l'échappement sonne à plus de 3000 tours, le becquet qui se lève, la boite plus rapide que sur la SLK.
Après avoir roulé pendant près d'un an (en avril ça fera un an) je peux tirer les conclusions suivantes.
Lorsque vous démarrez la voiture, vous avez l'impression qu'une bête se réveille sous le capot, faisant hurler discrètement et agréablement son échappement. Au ralenti, le moteur tourne doucement, on l'entend ou le sent à peine dans l'habitacle, contrairement au moteur du SLK.
Dans la SLK, l'échappement est plus bruyant pour rendre le 4 cylindres aussi sportif que possible ; le moteur lui-même est également bruyant même au ralenti et à la moindre pression sur la pédale, il fait plus de bruit qu'il ne pousse.
Chez Audi, tout est dans leur style décent, tout est calme, conservateur, et ce n'est que lorsque l'aiguille du compte-tours approche des 3000 que ce magnifique son de moteur se réveille, et si vous appuyez plus loin et plus fort sur la pédale, alors un son d'échappement plus sonore est ajouté, cela est tout particulièrement audible avec le toit ouvert.
En termes de dynamique, le TT est un peu plus rapide que la SLK. Plus je conduis le TT, plus je fais la différence avec la SLK, même si grâce au turbo, on avait l'impression qu'elle marchait mieux.
L'Audi vous presse plus fort contre le siège et vous pouvez sentir la réserve, surtout sur l'autoroute.
Boîte de vitesses : la stronic à double embrayage bien qu'avec seulement 6 rapports bat sans difficulté la 7gtronic qui même en sport reste hésitante. Sur la stronic en D c’est un peu lent, mais en S c’est une course aux armes et en manuel on fait ce qu'on veut alors que sur la 7gtronic elle reprend la main en manuel.
Suspension : un peu plus rigide que la SLK, et j'active le magnétique ride, il est encore plus rigide, mais il ne fait pas de bruit ni de grincement, j'ai vérifié. Le TT tient sa trajectoire, pratiquement rien ne peut la perturber. Sur la SLK, c'est de la souplesse, du flottement, de l'imprécision constante, et une régression du r171.
Intérieur : il n'y a rien à redire sur la qualité des matériaux, plutôt des éloges, il n'y a ni craquements, ni du jeu dans les commandes, seules les ceintures de sécurité frottent contre les sièges en cuir.
Mention spéciale au cuir baseball. Audi gère sur les finitions.
La taille de la cabine est très spacieuse. Avec le toit fermé il n'y a pas de sensation de crampe, le toit souple est très spacieux et il y a beaucoup d'espace au dessus de la tête. Les sièges sont larges, avec beaucoup de réglages et il y a beaucoup d'espace pour les jambes, même pour les personnes de grande taille, comme si vous étiez en classe affaire. On retrouve également de nombreux tiroirs sous les sièges, des boîtes à gants dans la cloison et même un compartiment dans le coffre pour le transport des skis, comme si j'allais partir au ski avec, non mais et puis quoi encore.
Le coffre : dans la SLK, le toit occupait tout le coffre et pour les bagages, il fallait les adapter. Dans le TT, le toit souple se replie de manière compacte dans son propre compartiment séparé.
J'ai également été impressionné par le rideau électrique escamotable : dans la SLK, il faut l'installer manuellement.
Consommations : la SLK gagne haut la main, ce qui est tout naturel. Encore heureux qu'un 4 cylindres turbo consomme moins qu'un 6 cylindres atmo plus puissant et lié à une transmission intégrale.
Performances : le TT est meilleur partout.
Aéro en cabriolet : le TT gère mieux les mouvements de l'air que la SLK.
Résultat : je suis content de la marque Audi et de ne pas avoir acheté un mk3.
J'ai la trentaine, alsacien du bas rhin, je suis en TT depuis un an.
Après plusieurs années au volant d'une mercedes SLK r172 200k, je voulais le remplacer par un TT roadster mk3 en tfsi 230.
En cherchant dans plusieurs garages, je suis tombé sur un roadster mk2 fsi 250 dans une configuration rare et v6.
Plus ancien, plus de kilomètres, et moins cher. Je l'ai acheté avec une garantie de 12 mois moteur et boite en très bon état. J'ai pu conserver mon SLK que j'ai revendu depuis.
Ma femme n'aime pas vraiment le TT mk2. Elle s'attendait à une mk3 plus récente mais le cuir baseball et le changement pour un tout nouveau poste media a amélioré son jugement. En fait la voiture s'est avérée tout aussi sportive que la SLK. La SLK est plus chic et plus lumineuse, et celle-ci est plus sobre et pratique.
Je suis toujours d’humeur à conduire de telles voitures et je peux parcourir de longues distances sans me fatiguer.
Les deux premiers mois, j'ai réglé le problème du poste media, nettoyage du cuir avec application d'un produit pour le protéger, effectué un peu d'entretien et commencé à comparer les deux roadsters et à m'amuser.
Le premier jour, je me souviens avoir eu des larmes de bonheur, pas tant à cause de la dynamique, mais du bruit du moteur, car je n'avais jamais eu de 6 cylindres auparavant et en même temps, j'ai commencé à ressentir les avantages d'un quattro. Passe fort, ne glisse pas, comment les amortisseurs magnétiques sont rendus plus rigides lorsque vous appuyez sur un bouton, à quel point l'échappement sonne à plus de 3000 tours, le becquet qui se lève, la boite plus rapide que sur la SLK.
Après avoir roulé pendant près d'un an (en avril ça fera un an) je peux tirer les conclusions suivantes.
Lorsque vous démarrez la voiture, vous avez l'impression qu'une bête se réveille sous le capot, faisant hurler discrètement et agréablement son échappement. Au ralenti, le moteur tourne doucement, on l'entend ou le sent à peine dans l'habitacle, contrairement au moteur du SLK.
Dans la SLK, l'échappement est plus bruyant pour rendre le 4 cylindres aussi sportif que possible ; le moteur lui-même est également bruyant même au ralenti et à la moindre pression sur la pédale, il fait plus de bruit qu'il ne pousse.
Chez Audi, tout est dans leur style décent, tout est calme, conservateur, et ce n'est que lorsque l'aiguille du compte-tours approche des 3000 que ce magnifique son de moteur se réveille, et si vous appuyez plus loin et plus fort sur la pédale, alors un son d'échappement plus sonore est ajouté, cela est tout particulièrement audible avec le toit ouvert.
En termes de dynamique, le TT est un peu plus rapide que la SLK. Plus je conduis le TT, plus je fais la différence avec la SLK, même si grâce au turbo, on avait l'impression qu'elle marchait mieux.
L'Audi vous presse plus fort contre le siège et vous pouvez sentir la réserve, surtout sur l'autoroute.
Boîte de vitesses : la stronic à double embrayage bien qu'avec seulement 6 rapports bat sans difficulté la 7gtronic qui même en sport reste hésitante. Sur la stronic en D c’est un peu lent, mais en S c’est une course aux armes et en manuel on fait ce qu'on veut alors que sur la 7gtronic elle reprend la main en manuel.
Suspension : un peu plus rigide que la SLK, et j'active le magnétique ride, il est encore plus rigide, mais il ne fait pas de bruit ni de grincement, j'ai vérifié. Le TT tient sa trajectoire, pratiquement rien ne peut la perturber. Sur la SLK, c'est de la souplesse, du flottement, de l'imprécision constante, et une régression du r171.
Intérieur : il n'y a rien à redire sur la qualité des matériaux, plutôt des éloges, il n'y a ni craquements, ni du jeu dans les commandes, seules les ceintures de sécurité frottent contre les sièges en cuir.
Mention spéciale au cuir baseball. Audi gère sur les finitions.
La taille de la cabine est très spacieuse. Avec le toit fermé il n'y a pas de sensation de crampe, le toit souple est très spacieux et il y a beaucoup d'espace au dessus de la tête. Les sièges sont larges, avec beaucoup de réglages et il y a beaucoup d'espace pour les jambes, même pour les personnes de grande taille, comme si vous étiez en classe affaire. On retrouve également de nombreux tiroirs sous les sièges, des boîtes à gants dans la cloison et même un compartiment dans le coffre pour le transport des skis, comme si j'allais partir au ski avec, non mais et puis quoi encore.
Le coffre : dans la SLK, le toit occupait tout le coffre et pour les bagages, il fallait les adapter. Dans le TT, le toit souple se replie de manière compacte dans son propre compartiment séparé.
J'ai également été impressionné par le rideau électrique escamotable : dans la SLK, il faut l'installer manuellement.
Consommations : la SLK gagne haut la main, ce qui est tout naturel. Encore heureux qu'un 4 cylindres turbo consomme moins qu'un 6 cylindres atmo plus puissant et lié à une transmission intégrale.
Performances : le TT est meilleur partout.
Aéro en cabriolet : le TT gère mieux les mouvements de l'air que la SLK.
Résultat : je suis content de la marque Audi et de ne pas avoir acheté un mk3.
Vincent 
