Bon : cette fois, je triche !...

mais c'est
seulement pour alimenter ce fil...
Car avec le confinement, je ne roule pas, ou si peu... Finies, hélas, les longues balades d'automne !... Mrrr !... Et donc, finies, pour un moment, les occasions de croiser des bagnoles "
intéressantes" !
La voiture qui vient, je ne l'ai donc pas croisée sur la route...
Je l'ai croisée, nous l'avons tous croisée, il y a fort longtemps... au cinéma puis à la télévision !
Aston Martin DB5, dite "Goldfinger", du nom du méchant qui donnait son titre au film ! la voiture de série fut fabriquée de 1963 à 1965 à un peu plus de 1000 exemplaires. Elle faisait 286 CV, puissance importante à l'époque, même pour une GT... La voiture de James Bond, elle, subit une préparation "spéciale" et il en fut construit quatre exemplaires... Elle était toutefois moins performante que le modèle de série car les accessoires pesaient 500 kilos !Comme les
AUDI TT, cette voiture disposait d'un catalogue d'options assez conséquent : blindage arrière, possibilités de jeter de l'huile ou des clous sous les roues de l'adversaire, "
dard" - comme sur le char de Messala dans
Ben-Hur - permettant de détruire la roue d'une voiture ennemie, sans compter, vingt cinq ou trente ans avant tout le monde, l'existence d'un téléphone de bord et de l'ancêtre du GPS...
Naturellement, comme pour les
AUDI TT, ces options exclusives étaient toutefois coûteuses...
C'est la disparition, il y a quelques jours de
Sean Connery, le premier interprète de James Bond, qui m'a fait ressortir, en guise d'hommage

, une photo de cette voiture à la ligne au demeurant sublime et intemporelle !